les mots.
Les mots.
Troupeaux dociles, hordes sauvages, isolés, parfois même cachés et reclus, enfouis. A l'écart, on voit ça chez les bêtes, quand elles sont malades, ou trop vieilles.
Il ne suffit pas de les appeler pour que les mots viennent. Il faut être patient, très patient parfois, les apprivoiser.
Certains arrivent pourtant d'eux-mêmes tandis que d'autres, rebèles, doivent être accueillis avec grande douceur.
Il y a un temps de maturation, d'incubation, avant de les voir éclore à la surface de la pensée.
Il faut alors les saisir comme on reçoit des amis, à bras ouverts, et si certains font mal, ils ne sont pas là pour rien, ils ne font pas mal pour rien.
C'est peut-être ceux-là qui ouvrent les portes.
Troupeaux dociles, hordes sauvages, isolés, parfois même cachés et reclus, enfouis. A l'écart, on voit ça chez les bêtes, quand elles sont malades, ou trop vieilles.
Il ne suffit pas de les appeler pour que les mots viennent. Il faut être patient, très patient parfois, les apprivoiser.
Certains arrivent pourtant d'eux-mêmes tandis que d'autres, rebèles, doivent être accueillis avec grande douceur.
Il y a un temps de maturation, d'incubation, avant de les voir éclore à la surface de la pensée.
Il faut alors les saisir comme on reçoit des amis, à bras ouverts, et si certains font mal, ils ne sont pas là pour rien, ils ne font pas mal pour rien.
C'est peut-être ceux-là qui ouvrent les portes.
| Imprimer | Commenter | Articlé publié par François Boussereau le 08 Déc. 25 |