Souvenir de ton poids léger.
Je me souviens.
Un soir, nous avons marché dans cette rue. Arrivés sur cette place, nous nous sommes assis sur un banc.
Nous ne nous disions rien: sentir nos mains suffisait.
Puis nous nous sommes embrassés; longuement; lentement: l'été sentait si bon!
Dans nos veines coulait le sang de l'amour. Les mots ne servent à rien dans ces moments-là.
Puis nous nous sommes levés, avons marché encore quelques instants et sommes rentrés.
La nuit nous attendait.
Et maintenant que tu n'es plus, je sens encore sur mon bras le poids léger de ton bras.
Jusqu'à toujours...
Un soir, nous avons marché dans cette rue. Arrivés sur cette place, nous nous sommes assis sur un banc.
Nous ne nous disions rien: sentir nos mains suffisait.
Puis nous nous sommes embrassés; longuement; lentement: l'été sentait si bon!
Dans nos veines coulait le sang de l'amour. Les mots ne servent à rien dans ces moments-là.
Puis nous nous sommes levés, avons marché encore quelques instants et sommes rentrés.
La nuit nous attendait.
Et maintenant que tu n'es plus, je sens encore sur mon bras le poids léger de ton bras.
Jusqu'à toujours...
Imprimer | Commenter | Articlé publié par François Boussereau le 26 Mars 23 |