Au petit chat qui dort.
Au petit chat qui dort,
Je dis merci encore.
À la rose qui tremble,
Je crois que je ressemble.
À l’étoile qui brille,
Mon regard s’écarquille.
Au tonnerre qui roule,
Je m’enivre et me soule.
À la mort qui nous guette,
La vie n’est jamais prête.
Je dis merci encore.
À la rose qui tremble,
Je crois que je ressemble.
À l’étoile qui brille,
Mon regard s’écarquille.
Au tonnerre qui roule,
Je m’enivre et me soule.
À la mort qui nous guette,
La vie n’est jamais prête.
Imprimer | Commenter | Articlé publié par François Boussereau le 09 Jan. 17 |