Dors, mon bébé
à mes filles que je n'ai pas su aimer comme ça.
Dors, ma fille; dors, mon bébé, mon enfant.
Tu es bien, avec moi; tu es bien, dans mes bras.
Tu ne sais pas ce que la vie te réserve, ni moi non plus. Je vois ton sang battre sous ta paupière. Tu souris à ton rêve. Il doit être si beau!
Les étoiles aussi veillent sur toi. Tu peux avoir confiance en elles. Quoi qu'il t'arrive, elles seront toujours là.
Tu vivras l'amour, la maladie, la joie comme l'espoir. Tu traverseras tous les obstacles. Parfois, tu te sentiras si faible, si désemparée! Tu n'auras plus la force. Et puis par magie, tu pousseras d'autres portes, et d'autres chemins s'ouvriront à toi, imprévus, inimaginables.
Tu naîtras à nouveau.
Je ne serai peut-être plus là pour te prendre dans mes bras. Un autre homme le fera à ma place.
Longue vie à toi, ma petite...
Tu es bien, avec moi; tu es bien, dans mes bras.
Tu ne sais pas ce que la vie te réserve, ni moi non plus. Je vois ton sang battre sous ta paupière. Tu souris à ton rêve. Il doit être si beau!
Les étoiles aussi veillent sur toi. Tu peux avoir confiance en elles. Quoi qu'il t'arrive, elles seront toujours là.
Tu vivras l'amour, la maladie, la joie comme l'espoir. Tu traverseras tous les obstacles. Parfois, tu te sentiras si faible, si désemparée! Tu n'auras plus la force. Et puis par magie, tu pousseras d'autres portes, et d'autres chemins s'ouvriront à toi, imprévus, inimaginables.
Tu naîtras à nouveau.
Je ne serai peut-être plus là pour te prendre dans mes bras. Un autre homme le fera à ma place.
Longue vie à toi, ma petite...
Imprimer | Commenter | Articlé publié par François Boussereau le 20 Nov. 16 |