Ecrire.
Coucher sur le papier un monde, un univers,
D’une main maladroite en prose, ou bien en vers,
Les arcanes cachés de l’écrivain pervers
Qui mélange à la fois son endroit, son envers.
Sûr! Pour écrire il faut regarder de travers,
Ne pas se contenter des simples faits-divers
Fuir la facilité, essuyer des revers.
Mais après le mot fin, se lever boire un verre.
Imprimer | Commenter | Articlé publié par François Boussereau le 11 Fév. 17 |