L'invisible, toujours.
À ma chère Marie:
Un ciel de satin pur enveloppe mon âme.
Mes yeux sont clos d'amour et mon coeur, bon, se pâme.
Pourquoi es-tu partie, belle enfant de mes jours?
Je te vois par delà l'invisible, toujours.
Imprimer | Commenter | Articlé publié par François Boussereau le 06 Mars 16 |