Là-bas, partout, peut-être...
Là-bas, partout, peut-être,
dans les traînées ocrées
qui flambent au couchant,
ou au creux des fontaines
où l’eau coule si claire,
quand je croise une fille
aux cheveux ondulés,
au profond de la feuille
que le soleil inonde,
dans le bleu des glaciers,
le rouge des volcans,
dans le vent de la mer
qui rend les hommes fous.
Partout, dans les étoiles,
dans le noir de la nuit,
dans la terre si chaude
au soir des grands labours.
Là-bas, partout, peut-être,
ici ou bien ailleurs
je crois que tu es là
tant mes yeux sont aveugles.
Dors, ma petite fille…
dans les traînées ocrées
qui flambent au couchant,
ou au creux des fontaines
où l’eau coule si claire,
quand je croise une fille
aux cheveux ondulés,
au profond de la feuille
que le soleil inonde,
dans le bleu des glaciers,
le rouge des volcans,
dans le vent de la mer
qui rend les hommes fous.
Partout, dans les étoiles,
dans le noir de la nuit,
dans la terre si chaude
au soir des grands labours.
Là-bas, partout, peut-être,
ici ou bien ailleurs
je crois que tu es là
tant mes yeux sont aveugles.
Dors, ma petite fille…
Imprimer | Commenter | Articlé publié par François Boussereau le 01 Fév. 17 |