Le rien.
Pour écrire, j'ai besoin du rien.
Le pire est la cohorte des pensées, l'indisciplinée foule des mots, chevaux à hue et à dia.
Je ne sais maitriser ces fougueux attelages.
Lorsque la place est vide, le vent s'engouffre, la feuille tournoie.
Alors la poésie...
Le pire est la cohorte des pensées, l'indisciplinée foule des mots, chevaux à hue et à dia.
Je ne sais maitriser ces fougueux attelages.
Lorsque la place est vide, le vent s'engouffre, la feuille tournoie.
Alors la poésie...
Imprimer | Commenter | Articlé publié par François Boussereau le 05 Mai 22 |