Pour écrire, j'ai besoin du rien.
Le pire est la cohorte des pensées, l'indisciplinée foule des mots, chevaux à hue et à dia.
Je ne sais maitriser ces fougueux attelages.
Lorsque la place est vide, le vent s'engouffre, la feuille tournoie.
Alors la poésie...