Nuit d'été.
La fraîcheur du talus où je m’étais couché.
L’odeur âcre de l’herbe en cette nuit d’été.
L’imperceptible vent qui soufflait dans les branches.
La lune, imperturbable, dans sa robe blanche.
La subtile clarté qui ruisselait du ciel.
Silence dans la ruche où se font cire et miel…
Imprimer | Commenter | Articlé publié par François Boussereau le 29 Mars 17 |